Ils font l’Institut français
Qui, à Alexandrie, ne connaît pas Jamal Desailly, dit « Gigi » : 43 ans au service de l’Institut français à Alexandrie. Et sa porte est toujours restée ouverte…
Qui, à Alexandrie, ne connaît pas Jamal Desailly, dit « Gigi » : 43 ans au service de l’Institut français à Alexandrie. Et sa porte est toujours restée ouverte…
Nous donnons ici écho aux talents en langue française. En 2018, Maïssoun Hussein remportait le 3e prix dans sa catégorie du concours de la nouvelle organisé par le réseau MLF (Missions laïque française). Maïssoun était alors élève en 3e au Lycée français d’Alexandrie
2/ Le souvenir de l’Alexandrie cosmopolite. – Joseph Boulad, l’un des derniers témoins de l’Alexandrie d’autrefois, évoque cette ville du passé et son lustre. Ce qui n’empêche pas d’aimer l’Égypte d’aujourd’hui qui « reste un pays fascinant ».
1/ La fin d’un monde. – Joseph Boulad, l’un des derniers témoins de l’Alexandrie cosmopolite, nous raconte sa vie, celle de sa famille syro-libanaise, et celle de sa ville qu’il ne reconnait plus.
Mireille Banoub est l’une des figures de la scène musicale alexandrine. Elle chante des œuvres classiques et modernes, accompagnée de sa troupe Les Compagnons, et dirige plusieurs chorales. Forte personnalité, elle a un charisme certain ; et bien sûr, c’est une « voix ».
Imaginez qu’en marchant dans la rue, vous passiez devant une construction qui date d’environ 800 ans. Cela attirerait votre curiosité, n’est-ce pas ? Pourtant, beaucoup passent leur chemin sans y prêter attention. Pourquoi ? Découvrez sans plus tarder l’inconnue d’Alexandrie : sa muraille.
Animée par l’amour des langues, Mona Magdalany a dédié sa vie à la francophonie. Enseignante, puis proviseure, femme indépendante avant tout, cette fervente militante du théâtre scolaire francophone raconte ses passions.
Elle dirige le service des archives du CEAlex, et veille avec discrétion mais passion sur cette mémoire d’Alexandrie. Avec elle, on s’enthousiasme pour l’enjeu de préservation du passé par les textes.
C’est un « caractère ». On dira qu’elle n’a pas froid aux mots, entendez : elle aime dire ce qu’elle pense. Pourtant Nazly Farid avoue avoir été longtemps silencieuse. Confession d’une révoltée devenue psychothérapeute, qui est aussi une passionnée de littérature.
Retour sur un événement qui a mobilisé la communauté francophone d’Alexandrie en 2019 : le Bazar, grand moment festif pour se connaître et s’amuser en découvrant activités et talents.
Yasmine Hussein dirige aujourd’hui « Darb 1718 », un centre d’art contemporain au Caire. Cette Alexandrine a dû, comme beaucoup d’autres, quitter sa ville d’origine pour donner une nouvelle dimension à sa carrière. Elle nous parle de ce lieu voué à l’art d’aujourd’hui, au service des artistes.
C’est un restaurant, et bien plus qu’un restaurant : chez Gaby est un rendez-vous, un club d’amis, et un lieu de mémoire. Roxane Assad vient de fêter les 40 ans de la pizzeria la plus célèbre d’Égypte. Portrait…
Le Département de français de la Faculté des Lettres, à Alexandrie, a lancé il y a trois ans un projet de « laboratoire de voix », pour pratiquer le français à l’oral tout en s’amusant et en faisant appel à la créativité. Parmi les travaux proposés aux étudiants : le doublage en français de films d’animation.
Le français est arrivé en Égypte lors de l’établissement de l’Égypte moderne par Mohammed Ali Pacha, ayant évolué par la suite avec la construction d’écoles françaises laïques ou chrétiennes. Ici témoignages d’Alexandrins sur leur rapport au français.
Un atelier d’initiation au journalisme a réuni pendant plus d’une semaine des élèves, issus en majorité des écoles bilingues d’Alexandrie. L’opération a permis aux participants d’acquérir des bases et aussitôt plonger dans les travaux pratiques. Voici quelques extraits de leurs réalisations.